Nouveau développement confirmé en Utah : Kent Hughes a réussit tout un coup d'éclat
Crédit photo: Delta Center
Il y a des décisions qui font lever les sourcils, et refuser 77 millions de dollars à 21 ans en fait partie. Pourtant, c'est exactement ce que vient de faire Logan Cooley.
9,6 millions par saison pendant huit ans ne sont pas assez pour le jeune attaquant du Mammoth de l'Utah.
« Sources : le Mammoth de l'Utah a fait pression pour que la star montante Logan Cooley prolonge son contrat avant le début de la saison, mais son clan a refusé un contrat de 8 ans d'une valeur de près de 77 millions de dollars (8 ans x 9,6 millions de dollars). »
- Frank Seravalli
- Frank Seravalli
Ceci veut donc dire que Bill Armstrong, le DG, se retrouve acculé au mur et devra sans doute sortir le chéquier à plus de 10 M$ ou plus par année. Ouch.
« Wow! Logan Cooley refuse une offre de prolongation de contrat de 8 saisons à un salaire annuel de 9,600,000$ de la part du Mammoth.
Avec la hausse du plafond, il va certainement vouloir du 10M$+/saison! »
- Marc-Olivier Beaudoin
Avec la hausse du plafond, il va certainement vouloir du 10M$+/saison! »
- Marc-Olivier Beaudoin
Juraj Slafkovsky devient une véritable aubaine
En voyant ce qui se passe en Utah avec Cooley, on ne peut s'empêcher de comparer la situation avec Juraj Slafkovsky chez le Canadien.
Le pari de Kent Hughes avec son premier choix au total ressemble maintenant à un vol qualifié.
Le Slovaque est attaché au CH pour huit ans, à seulement 7,6 M$ par saison. Une vraie aubaine quand on voit que Cooley, sélectionné deux rangs derrière lui en 2022, refuse déjà 9,6 M$, et qu'il pourrait finir par coûter trois millions de plus par saison.
Trois millions de différence, sur huit saisons, ça fait 24 millions de plus dans les poches du CH avec Slafkovsky, et ça, c'est assez pour payer un joueur d'impact supplémentaire dans ton alignement.
Est-ce que Cooley a un plafond offensif plus élevé que Slafkovsky? Peut-être. Mais est-ce qu'il vaut vraiment ces 3 M$ de plus chaque saison? Certainement pas.
La vérité, c'est que le DG du Canadien a frappé au bon moment. Il a sécurisé son futur pilier avant que le marché explose et que le plafond salarial transforme les négos en cauchemar.
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