Martin St-Louis se fait passer un sérieux message: «qu'on le sorte de l'équipe immédiatement»
Crédit photo: Capture d'écran
Pendant que les projecteurs sont braqués sur le départ canon du Canadien de Montréal, une question dérange de plus en plus les partisans : pourquoi Ivan Demidov joue-t-il si peu ?
L'équipe trône parmi les meilleures de l'Est après un impressionnant début de saison, mais derrière les succès collectifs, la gestion du jeune prodige russe soulève bien des interrogations.
À 19 ans, Demidov affiche déjà un rendement digne d'un vétéran : 13 points en 15 matchs, dont quatre buts, et une créativité offensive qui dynamise chacune de ses présences.
Malgré cela, Martin St-Louis continue de le déployer comme un joueur de soutien, au grand désarroi de plusieurs observateurs.
La grogne sur l'utilisation d'Ivan Demidov est alimentée dangereusement par le cas Joe Veleno
Samedi dernier, dans la victoire de 6 à 2 face au Mammoth de l'Utah, Demidov a passé à peine 13 minutes et 18 secondes sur la glace, le deuxième plus faible total du match.
Et devinez qui a joué encore moins ? Joe Veleno, un attaquant qui, après 10 rencontres, n'a toujours aucun point et présente un différentiel de -5.
Le hic ? Si l'on retire le temps passé en avantage numérique, Veleno a en réalité joué plus que Demidov à forces égales.
« Le seul joueur qui a moins joué qu'Ivan Demidov ce soir est Joe Veleno.
Ce n'est pas bon. »
Ce n'est pas bon. »
Une statistique qui fait sourciller, surtout quand on considère que le Russe est actuellement le troisième meilleur pointeur de l'équipe.
Sur les réseaux sociaux, la grogne est bien réelle - autant au sujet de Demidov que de la présence de Veleno dans l'alignement.
« Joe Veleno a affiché un différentiel de -2 lors de la victoire de 6-2 ce soir.
Qu'on le sorte de mon équipe et qu'on rappelle Davidson.
C'est le seul point négatif de la soirée. »
Qu'on le sorte de mon équipe et qu'on rappelle Davidson.
C'est le seul point négatif de la soirée. »
Plusieurs demandent même que Jared Davidson soit rappelé de Laval pour remplacer le numéro 90, jugé inutile dans la formation actuelle.
Pendant ce temps, Demidov continue de produire malgré un temps de jeu minimal.
Le Canadien gagne, certes. Mais si le jeune numéro 93 performe déjà avec un rôle restreint, imaginez ce qu'il pourrait offrir si on le laissait vraiment s'exprimer.
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