Nick Suzuki pourrait regretter amèrement une décision qu'il est sur le point de confirmer

C'est un rendez-vous qui attire l'attention non seulement pour les étoiles sur la glace, mais aussi pour celles qui manquent à l'appel.

Parmi les grands points d'interrogation : Nick Suzuki. À l'heure où le tournoi s'apprête à débuter, aucune confirmation officielle n'a été faite quant à la participation ou non du capitaine du Canadien de Montréal.

Et ce flou commence à faire jaser.

Si le numéro 14 du Tricolore refuse à nouveau l'appel d'Équipe Canada, il risque de nuire sérieusement à ses chances d'obtenir une place aux Jeux olympiques de 2026.

Pourquoi? Parce que dans le hockey canadien, les sélections pour les grandes compétitions ne reposent pas uniquement sur les statistiques ou le talent.

Les décideurs misent souvent sur des connexions existantes ou sur la réputation développée dans les cercles internationaux.

En plus, sans dirigeants du Canadien autour de la table pour défendre sa candidature, Suzuki doit se faire voir et surtout, se faire connaître des figures clés comme Sidney Crosby ou Nathan MacKinnon.

L'an passé, il avait déjà décliné l'invitation au Mondial. Résultat : il a été écarté du tournoi des 4 nations. Refaire le même choix cette année? Disons que ce serait jouer avec le feu.

Au-delà de sa propre vitrine, la présence de Suzuki aurait également pu servir les intérêts du Canadien de Montréal.

Avec la participation surprise de Sidney Crosby au tournoi, deux semaines dans le même vestiaire auraient pu créer des liens précieux.

Rappelons que le nom de Crosby circule de plus en plus dans les rumeurs à Montréal, une rencontre prolongée avec Suzuki aurait pu semer quelques idées.

Certes, Mike Matheson portera les couleurs d'Équipe Canada, mais l'influence d'un autre coéquipier potentiel dans un rôle de meneur comme Suzuki aurait pu mieux « vendre » le projet montréalais.