Le Canadien serait dans une très mauvaise posture selon un journaliste connu

Et contrairement à ce que plusieurs espéraient, la situation est loin d'être simple.

Depuis le 1er septembre, le CH a désormais toute la latitude pour échanger l'entente du numéro 31, puisque son dernier bonus a été versé.

Mais attention : libérer ce contrat de 10,5 M$ ne sera pas une formalité. Le Tricolore nage toujours au-dessus de la limite salariale, environ 6 M$ trop haut, et trouver une issue rapide ressemble davantage à un casse-tête qu'à une formalité administrative.

Comme l'a rappelé récemment le journaliste Nicolas Cloutier au balado de Tony Marinaro, Kent Hughes marche sur une corde raide.

D'un côté, garder Price sur la liste des blessés à long terme permettrait au CH de fonctionner comme dans les dernières saisons, mais avec un plafond déjà dépassé, les options deviennent limitées.

Et ce n'est pas tout. Le vrai danger se trouve ailleurs : si des jeunes comme Ivan Demidov ou Lane Hutson atteignent leurs bonis de performance (ce qui devrait être une formalité), le Canadien pourrait être frappé d'une lourde pénalité l'an prochain.

Autrement dit, ne pas régler la situation de Price pourrait coûter encore plus cher à long terme.

Pour compliquer les choses, les rivaux de la LNH flairent la situation. Tout le monde sait que Hughes a besoin d'air sous le plafond.

Résultat : les demandes sont salées pour absorber le contrat, ce qui freine toute transaction immédiate.

Bref, que le CH garde Price ou qu'il le sacrifie, la facture risque d'être salée. Hughes devra donc choisir entre avaler un prix élevé maintenant, ou se préparer à payer encore plus tard.